R. B., pharmacien responsable intérimaire au sein d'une entreprise de la répartition pharmaceutique, après plusieurs expériences officinales, est élu ordinal suppléant depuis 2008.

Concrètement, comment se traduit votre activité de conseiller ordinal ? 

Au sein de la section C, les élus suppléants participent, comme les titulaires, aux groupes de travail. Cela a par exemple été mon cas sur l’acte pharmaceutique dans la distribution, qui a débouché, comme souvent, sur la publication d’un document pratique. J’étais aussi dans la commission qui a conduit à la suppression des bons de stupéfiants entre les répartiteurs et l’industrie. Dernièrement, j’ai aidé ma collègue responsable du groupe sur les retours en officine, en lien avec les bonnes pratiques de distribution (qu’il faudra adapter avec la sérialisation). 

Je suis par ailleurs chargé de développer les webconférences de la section C, démarrées fin 2017 avec un sujet alors d’actualité : le contrôle pharmaceutique des opérations et l’évolution des modalités de remplacement. Un exemple intéressant, car il suivait une clarification des règles avec l’ANSM et montre bien l’impact de l’Ordre sur certains sujets très opérationnels. 

Pour en savoir plus sur le rôle et les missions du conseiller ordinal