Les personnes de plus de 60 ans pourraient représenter un tiers de la population française en 2050, faisant de la perte d’autonomie liée au vieillissement un enjeu majeur de santé publique. 
Aux affections attribuables au vieillissement biologique s’ajoutent de nombreuses pathologies : maladies chroniques, cancers, maladies neurodégénératives… et, par conséquent, un risque accru de polypathologie. Ainsi, aujourd’hui, la priorité est de favoriser un vieillissement en bonne santé.