Si l'hémorragie semble en voie d’être stoppée, il est important de souligner que le nombre de postes vacants dans les études de pharmacie demeure trop élevé. L’Ordre national des pharmaciens co-signe un communiqué de presse avec les syndicats de pharmaciens d’officine, la FNSIP-BM et l’ANEPF.

 471 places sont vacantes en deuxième année des études de pharmacie pour la rentrée 2023, soit un meilleur niveau de recrutement par rapport à l’année 2022. Cependant, ce constat reste insatisfaisant par rapport au besoin de pharmaciens dans les territoires.

L’année dernière, l’ensemble des acteurs de la pharmacie faisaient un constat sans appel : plus de 1000 places étaient vacantes en entrée des études de pharmacie, un niveau de sous-recrutement sans précédent.

Aujourd’hui, la conférence des doyens de pharmacie, l’Ordre national des Pharmaciens, les syndicats de pharmaciens d’officine, la FNSIP-BM et l’ANEPF, sont mobilisés pour que, l’an prochain, pas une seule place ne reste vacante.

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